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La lettre de Septembre 2024

Chères adhérentes, chers adhérents, chers collègues,

 

Le sourire est vraiment une langue universelle. On dit souvent qu’il coûte peu à celui qui l’offre et apporte beaucoup à celle ou celui qui le reçoit. Qu’il soit esquissé, ébauché, timide, franc ou lumineux, le sourire est comme la vitrine de nos émotions. Il invite aux échanges, à la communication, à la sympathie, il représente une main tendue, un espoir, il est à la fois une solidarité et une promesse d’amitié ou plus. En tout cas, un sourire ne laisse jamais indifférent.

 

Les augures du café du commerce avaient prédit une période infernale à tous les égards… réseaux saturés, circulation anarchique, sécurisation impossible, foule incontrôlable… à telle enseigne que le mot d’ordre hélas propagé et persistant était devenu « Fuyez ».

 

L’UNSA, quant à elle, n’a eu de cesse de rappeler que la période serait avant tout festive, joyeuse et l’évènement exceptionnel. Les faits ont l’avantage de la ténacité et ce sont les athlètes olympiques, paralympiques, et toute cette foule de bénévoles exceptionnels qui ont donc apporté le plus cinglant démenti à tous ces sombres préalables. Leur joie, leur enthousiasme, leur engagement étaient somme toute normaux face à l’évènement… ils y ont rajouté les sourires, comme un parapluie protecteur aux mauvaises ondes, avant, pendant et après ces Jeux Olympiques et Paralympiques 2024.

Les faits ont l’avantage de la ténacité et ce sont les athlètes olympiques, paralympiques, et toute cette foule de bénévoles exceptionnels qui ont donc apporté le plus cinglant démenti à tous ces sombres préalables. Leur joie, leur enthousiasme, leur engagement étaient somme toute normaux face à l’évènement… ils y ont rajouté les sourires, comme un parapluie protecteur aux mauvaises ondes, avant, pendant et après ces Jeux Olympiques et Paralympiques 2024. Bien sûr, il y a eu des larmes de déception et chacun les entend, les comprend… mais « les larmes ne sont-elles pas l’extrême sourire » en certaines exceptions, disait Stendhal.

 

Il y a bien des sujets qui ne prêtent guère à sourire, c’est vrai et l’UNSA ne tombe pas dans un angélisme béat, soyez rassurés. Mais le sourire, c’est contagieux et autorisez-moi en cette rentrée 2024 d’en faire ce mot à retenir pour l’année sociale qui commence… une goutte chaque jour, comme un collyre pour la rétine des relations humaines. Nous avons toutes et tous, j’en suis sûr, un être cher à qui nous saurons dire : « Ne perds pas ton sourire, il est ma force ».

 

« Je me presse de rire de tout, de peur d’être obligé d’en pleurer » racontait Beaumarchais. Alors d’abord… souriez !!!

 

Laurent TINTIGNAC – Secrétariat général de l’UNSA-Défense

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