Chères adhérentes, chers adhérents, cher(e)s collègues
C’est vrai quand on y pense un peu que le code du travail comme le statut de la fonction publique, sont mal fichus. Aucun des deux ne prévoit en effet, les matins où vous sentez que votre présence au travail risque de faire s’ajuster automatiquement le niveau de performance de votre entourage à votre faible état général et globalement faire baisser le niveau de productivité collective. Vous avez essayé d’évoquer le sujet en entretien, motivé vos supérieurs à admettre le principe, quasi mobilisé vos collègues… Rien n’y fait, vous avez toujours droit aux mêmes clichés : congés, RTT, arrêt maladie. Comme si les congés servaient à compenser une baisse de forme passagère. Le coup du poisson rouge suicidaire ou de la rage de dents du chinchilla, ça ne fonctionne qu’une fois… en encore. Vos arguments : « Oui mais ce sont comme mes enfants… smiley triste » se voient toujours opposer « T’as qu’à prendre un congé des dents d’aidant de la mère, c’est prévu par les textes désormais…smiley rire ». Bref ça n’a pas fonctionné terrible terrible, il faut bien l’avouer.